Le cirque d’Estaubé (Hautes-Pyrénées).
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I- Présentation du cirque d’Estaubé
Le cirque d’Estaubé est un très beau site de nos Pyrénées. Situé sur le territoire du Parc National, il se prête parfaitement à une sortie Nature. Plus sauvage que ses voisins de Gavarnie et de Troumouse, il est très intéressant par la diversité des paysages, de la faune, de la flore et pour ses nombreuses cascades, tout en restant d’accès facile.
On y accède depuis le village de Gèdre où on prend la D922 en direction du barrage des Gloriettes. A l’embranchement du pont de l’Araillé avant le village de Héas, on prend à droite la D176 étroite et sinueuse. On accède alors au bout de quelques kilomètres à un parking situé au pied du barrage. Ce parking est vite rempli en période d’affluence et il vaut mieux arriver tôt. Un deuxième parking plus petit situé plus bas demandera un peu plus d’effort aux personnes intéressées uniquement par l’accès au lac des Gloriettes, le lac du barrage. La route est fermée en hiver à cause de la présence de neige. Ce 31 mai, elle est ouverte depuis un petit moment déjà.
Cette publication n’est pas un topo. Le but principal de la sortie était, avant tout, d’ouvrir les yeux sur la Nature! Je vous recommande de vous munir de la carte IGN au 1:25 000 1748 OT. Les temps de marche ne sont qu’indicatifs.
Je vous présente dans l’ordre, agrémenté de mes photos, le tour du lac des Gloriettes sur le sentier de découverte, la variante pour y accéder à partir de la cabane de Groutte, la découverte du cirque d’Estaubé jusqu’à la cascade du Plaa d’Ailhet en revenant par la cabane d’Estaubé.
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II- Le lac des Gloriettes
Le panneau de présentation du sentier de découverte du lac des Gloriettes, avant de passer sur la digue du barrage.
Le premier centre d’intérêt est le lac des Gloriettes, situé à 1 668m d’altitude. Le barrage qui le domine permet d’avoir un joli panorama sur le site avec une vue sur les crêtes du cirque. Il est accessible en quelques minutes à partir du parking supérieur. Il faut compter une heure environ pour en faire le tour complet sur un sentier de découverte, sans les arrêts (longueur 2.9 km avec peu de dénivelé, autour de 80 m). Le site est hors Parc National mais il est classé Natura 2000. Ce tour est très intéressant : flore diverse, marmottes, beaux panoramas. Les panneaux explicatifs incitent à le faire dans le sens inverse des aiguilles d’une montre, en passant d’abord sur la digue du barrage. On peut cependant le faire aussi dans l’autre sens, en partant du fond du parking. Tout est parfaitement indiqué.
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Après être passé sur la digue du barrage, on continue sur une piste jusqu’à une bifurcation avec des panneaux de direction. On prend sur la gauche en descendant vers la bordure du lac, dans la direction du Parc National.
Poteau indicateur des diverses directions, après le barrage. Tout droit, on va vers le plateau de Coumély (0h30) et ses granges, vers Gèdre par le sentier de Ramond (2h00) ou vers Gavarnie (2h15).
Plateau de Coumély.
A cette bifurcation, on peut augmenter l’intérêt de la sortie en faisant d’abord le détour au plateau de Coumély et ses granges (1h00 environ A/R supplémentaire sans les pauses, avec un magnifique point de vue sur le lac et le cirque avant d’arriver aux premières granges. Aucune difficulté), puis reprendre le sentier de découverte.
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Le lac des Gloriettes (sens inverse des aiguilles d’une montre). La partie grise et minérale des rochers est sous eau quand le lac est plein. Au fond, on aperçoit quelques sommets du cirque d’Estaubé encore enneigés.
Le sentier de découverte dans ce sens passe près de la bordure du lac, alors qu’il le surplombe sur la rive opposée. Au fur et à mesure de la progression, le cirque va se dévoiler. On observe dès le départ la Fritillaire des Pyrénées ou Fritillaire noire (Fritillaria pyrenaica), endémique des Cévennes méridionales, des Corbières et des Pyrénées, relativement rare. Elles ne sont pas totalement en fleurs et je n’ai pas pris de photo.
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Les premières marmottes.
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L’accenteur mouchet (Prunella modularis), un passereau sobre ressemblant à un moineau par son plumage. Très discret en période hivernale, le mâle se tient bien en vue en période de reproduction pour chanter.
Le site est aussi fréquenté par le Traquet motteux (Oenanthe oenanthe) et le Rougequeue noir (Phoenicurus ochruros). Avec ce beau soleil, tout le monde chante! On arrive ainsi au fond du lac. Puis on continue tout droit sur le chemin bien tracé en remontant la vallée le long de la rive gauche du gave d’Estaubé (gave à main gauche) se jetant derrière nous dans le lac. Après avoir passé un portillon pour le bétail, on longe une zone humide avec des panneaux explicatifs sur ce milieu naturel.
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On arrive alors à une bifurcation avec un poteau indicateur de directions (0h30 depuis le départ).
Poteau indicateur pour revenir au parking.
Le sentier de découverte bifurque à gauche pour revenir au parking des Gloriettes par l’autre rive du lac (0h35) et cette direction est commune avec celles se dirigeant vers la cabane de Groutte (1h45) ou le cirque de Troumouse (3h30). On traverse le gave d’Estaubé sur une passerelle.
Une cascade, encore active ce 31 mai.
Primevère farineuse.
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Myosotis …
Le lac des Gloriettes, que l’on domine sur la deuxième partie du sentier de découverte.
Le lac de barrage est en partie alimenté par les eaux de l’Aguila. Cette eau est captée quelques kilomètres à l’Est au pied du Soum des Salettes, puis elle est canalisée par un tunnel jusqu’au lac.
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On arrive à nouveau à un poteau indicateur de directions (0h50 depuis le départ).
Prendre la direction du parking.
Encore une cascade!
Une dernière vue vers le lac des Gloriettes, avant de redescendre au parking des Gloriettes.
Ce sentier de découverte de niveau « marcheur » permet de s’imprégner de la beauté du site, sans effort particulier.
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III- Information sur la cabane de Groutte
Panneau indicateur Cabane de Groutte dans le cirque d’Estaubé.
Dans la deuxième partie du tour du lac des Gloriettes par le sentier de découverte en sens inverse des aiguilles d’une montre, on voit ce panneau situé à 15 mn du retour au parking.
Je vous conseille de chercher un topo sur « la randonnée au lac des Gloriettes depuis la cabane de Groutte ». En effet, il est possible de se garer en voiture à cette cabane en pierre, située sur le bord de la route en direction du cirque de Troumouse après le village de Héas (comme pour le parking des Gloriettes, il vaut mieux arriver tôt en période de grande affluence). Le sentier à partir de cette cabane jusqu’au lac des Gloriettes (4 km Aller) ne présente pas de difficulté et la balade peut se combiner avec une boucle autour du lac ou dans le cirque d’Estaubé, avec un retour au point de départ.
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IV- La découverte plus en avant du cirque d’Estaubé
Une fois arrivé au fond du lac des Gloriettes, on peut continuer la balade tout droit dans le cirque d’Estaubé. Le tour du lac sera repris au retour.
A ce panneau, continuer tout droit.
En continuant tout droit, on prend la direction commune indiquée pour la cabane d’Estaubé (1h00), la Hourquette d’Alans (3h15) ou le Port de Pinède (3h30).
Le sentier longe la limite du Parc National (à main droite). On continue le chemin jusqu’à un embranchement indiquant à nouveau plusieurs possibilités (0h50 depuis le parking). A ce niveau-là, on entre dans le Parc National! (matérialisé par le panneau de la réglementation au sein du Parc et les fameuses têtes d’isard rouge sur fond blanc).
Cet embranchement est matérialisé par les deux panneaux suivants :
Direction séparée pour la cabane d’Estaubé à main gauche, …
…, et direction commune pour l’instant pour le Port Neuf de Pinède, la Hourquette d’Alans et descente au Refuge des Espuguettes.
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4-1_ La cabane d’Estaubé
On bifurque à gauche sur un chemin proche de l’eau, en direction de la cabane d’Estaubé que l’on atteint après avoir traversé le gave sur le pont d’Estaubé (niveau promenade – 1h30 environ depuis le départ ; 1h15 pour la descente – dénivelé faible, moins de 100m – 7 km A/R environ).
De la cabane, on peut continuer jusqu’au fond du cirque en remontant le gave jusqu’au Pla d’Ailhet (1 834 m) et sa cascade (1 899m) (niveau marche – Balisage jaune – 2h30 environ depuis le départ ; 2h00 pour la descente – dénivelé positif 230 m – 12 km A/R environ). Au-delà, la progression n’est plus possible.
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4-2_ Les autres directions
On continue par le sentier à main droite, bien tracé, qui s’éloigne du gave en prenant de l’altitude, avec les trois possibilités indiquées sur le panneau : Hourquette d’Alans (2h15), Port Neuf de Pinède (2h30), Les Espuguettes (2h40). Mais aussi, brèche et refuge de Tuquerouye.
La Hourquette d’Alans est sur le chemin en traversée partant du barrage des Gloriettes jusqu’à Gavarnie : après l’avoir franchie (2 430m), on bascule dans le cirque de Gavarnie vers le refuge des Espuguettes puis on descend à Gavarnie (directement, ou par la corniche des Espugues appelé aussi sentier des balcons de Pailha ; on peut faire le détour au pied de la cascade grandiose du Cirque). Pour ces options qui ne sont plus de la sortie Nature mais de la randonnée de haute montagne, il y a des topos très bien faits sur internet.
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4-3_ Une variante avec retour par la cabane d’Estaubé
On reste rive gauche du gave (gave à main gauche) en suivant la direction vers la Hourquette d’Alans, pour aller visiter une jolie cascade sur le ruisseau de Pouey Arrabi. On descend ensuite hors sentier vers le Pla d’Ailhet pour retrouver sa cascade au fond du cirque, en traversant le gave à pied. Cette option permet de découvrir les deux rives du gave d’Estaubé.
Ce jour-là, le niveau du gave permettait de le traverser dans sa partie supérieure sans trop se mouiller les chaussures.
Le cirque d’Estaubé, avec de gauche à droite :
Le pic Blanc (2 828m), Le Port Neuf de Pinède (2 466m), la punta del Forcarral (2 716m), le Pic de Pinède (2 860m), la brèche de Tuquerouye (2 666m), le pic de Tuquerouye (2 819m), la brèche des deux Bornes. Encore cachés, en continuant vers la droite : le Grand Astazou (3 071m), le pic Rouge de Pailla (2 780m) et la Hourquette d’Alans (2 430m).
Vue rapprochée sur le pic Blanc (2 828m).
Vue rapprochée sur le port Neuf de Pinède (2 466m) et la punta del Forcarral (2 716m).
Vue encore plus rapprochée sur le port Neuf de Pinède (2 466m).
Vue rapprochée sur le pic de Pinède (2 860m).
Vue rapprochée de la brèche de Tuquerouye, avec le piton de la Borne de Tuquerouye Oriental (2 471m).
Vue rapprochée sur le pic de Tuquerouye (2 819m), avec la brèche des deux Bornes, située à droite.
Vue très rapprochée de la brèche située à gauche du sommet du Tuquerouye (voir cliché précédent).
Vue rapprochée de la brèche des deux Bornes.
Vue encore plus rapprochée de la brèche des deux Bornes.
Le pic Rouge de Pailla (2 780m). La Hourquette d’Alans (2 430m) est sur la droite, hors cadre.
La faune et la flore sont toujours aussi abondantes.
Un doublé de marmottes.
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Et toujours des marmottes.
Choucards à bec jaune, sur fond de brèche de Tuquerouye.
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Un moment particulier : une « explication » entre un Traquet motteux et une Marmotte.
Primevère farineuse (Primula farinosa).
Gentiane de Koch (Gentiana kochiana).
Gentiane de printemps ou Gentiane printanière (Gentiana verna).
Primevère farineuse (Primula farinosa).
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Saxifrage aizoon (saxifraga paniculata).
Parterre de fleurs au bord du gave (Primevère farineuse et Grassette vulgaire).
Jonquilles et Gentiane de Koch.
Primevère farineuse et Grassette vulgaire (Pinguicula vulgaris).
Les nombreuses cascades sont bien alimentées par la fonte de la neige.
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Une des nombreuses cascades alimentant le gave d’Estaubé, côté rive gauche (prise au téléobjectif avec deux focales différentes).
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Visite au pied de la cascade un peu à l’écart du sentier menant à la Hourquette d’Alans, avant de quitter celui-ci pour descendre vers le Pla d’Ailhet. Ruisseau de Pouey Arrabi.
La descente hors sentier vers le Pla d’Ailhet pour traverser le gave d’Estaubé. Au fond du cirque, on aperçoit le névé empêchant la progression vers la cascade du Pla d’Ailhet.
Vue rapprochée du névé par-dessus le gave d’Escaubé, empêchant la progression vers la cascade du Pla d’Ailhet.
Traversée du gave au niveau du Pla d’Ailhet. En haut du cliché à droite, les deux pitons sous la brèche des deux bornes s’appellent « Les deux Bornes ».
Sur le Pla d’Ailhet, en direction du fond du cirque.
A la source du gave, le même gros névé qui barre l’accès plus avant pour la cascade du Pla d’Ailhet.
Une « curiosité sur un rocher » à la source du gave.
Sur le sommet d’un énorme rocher, à la source du gave.
Impossible d’aller voir la cascade du Pla d’Ailhet.
Au bord du névé, avec le gave qui coule par-dessous.
La cascade du Pla d’Ailhet est située vers la gauche et au-dessus de la barre rocheuse surplombant le névé.
Vue rapprochée sur la cascade du Pla d’Ailhet (à gauche), avec l’accès bloqué par plusieurs névés.
Vue rapprochée de la cascade située au milieu du cliché panoramique, juste au-dessus du névé.
Le refuge de Tuquerouye en haut de la brèche de Tuquerouye, depuis le fond du cirque.Tout à droite, le piton de la Borne de Tuquerouye Oriental.
Vue rapprochée sur le refuge de Tuquerouye et sa Vierge (surplombant le refuge, à sa gauche). Le refuge inauguré le 5 août 1890 est le plus vieux et le plus haut refuge des Pyrénées (2 666 m), agrandi en 1927 et restauré en 1999. Quelques jours après l’inauguration, le 11 août 1890, cette statue de la Vierge pesant 75 kg est montée à dos d’homme par le guide François Bernat-Salles depuis Gavarnie.
Le Grand Astazou (3 071m), une vue rapprochée depuis le fond du cirque.
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Quand il n’y a pas foule, il est possible de rencontrer des isards au fond du cirque.
Un éterlou (isard d’un an, né en mai de l’année précédente). Reconnaissable à ses cornes courtes et son pinceau pénien.
Un deuxième éterlou, légèrement plus haut que le précédent.
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Moment sympa sur les premiers contreforts au fond du cirque : la rencontre de deux éterlous, chassés par leurs mères qui viennent de mettre bas. Je ne verrai pas d’autres isards de la sortie.
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Une vue différente du pic Rouge de Pailla (2 780m), en quittant le fond du cirque. Il domine la Hourquette d’Alans (2 430m) située à droite, hors cadre.
Au pied du massif montagneux, le chemin monte en lacets jusqu’à la Hourquette d’Alans (2 430m) encore enneigée, toute à gauche.
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Le retour s’effectue rive droite du gave d’Estaubé (gave à main gauche), en le suivant jusqu’à la cabane d’Estaubé, puis en obliquant vers le pont d’Estaubé où on retrouve le chemin aller. On le continue jusqu’à la bifurcation pour terminer le tour du lac par le sentier de découverte.
Sur le chemin du retour.
Le gave d’Estaubé grossit, alimenté par de nombreux ruisseaux descendant des deux versants de la montagne.
Je verrai à deux reprises un cincle plongeur ou Merle d’eau (Cinclus cinclus), mais il était trop pressé et je n’ai pas pu l’immortaliser.
Cascades sur un des nombreux ruisseaux alimentant le gave.
C’est la troisième carcasse trouvée dans le cirque, avant de repasser sur le pont d’Estaubé.
Au loin en se retournant, le premier nuage de la journée se forme côté Espagne, au-dessus de la brèche de Tuquerouye (à droite, le pic de Tuquerouye).
Cliché pris au même moment que le précédent, au format portrait.
Encore des marmottes, en train de faire une roulade. Elles auront été très nombreuses, lors de cette sortie.
Le gave d’Estaubé.
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Vues rapprochées de l’effet de la lumière et du vent sur l’eau dévalant les falaises.
On sort du Parc National et on arrive à la première bifurcation de ce matin.
Ce matin, je suis arrivé du barrage des Gloriettes (0h30) pour me diriger vers la Hourquette d’Alans et quitter plus haut le sentier pour traverser le gave à pied, direction le fond du cirque.
Maintenant, je reprendrai le parcours de découverte (direction parking des Gloriettes à 0h35) qui fait le tour du lac des Gloriettes dans le sens inverse des aiguilles d’une montre.
Deux semaines plus tard, je suis revenu au cirque d’Estaubé pour continuer à faire des photos de Nature, sous une météo très maussade. Vous pouvez consulter la publication en suivant le lien ICI (Le barrage des Gloriettes et le plateau de Coumély).
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