02 Septembre – Le pic d’Anie culminant à 2 504 m et tout à droite, la pointe conique du pic d’Arlas (2 044 m), dominant La Pierre Saint-Martin.
11 Novembre – La silhouette familière et caractéristique du pic d’Arlas (2 044 m), depuis « la maison ».
.
Le pic d’Anie (2 504 m) et le pic d’Arlas (2 044 m) sont deux sommets béarnais caractéristiques, bien reconnaissables depuis les coteaux du Vic-Bilh. Le premier, situé en vallée d’Aspe, est le plus haut sommet du cirque de Lescun. Les sommets qui l’entourent nécessitent de zoomer pour les identifier. Le cône du second domine La Pierre Saint-Martin, en vallée du Barétous. J’aime bien les photographier dès septembre et durant l’hiver ; certaines lumières du couchant sont magnifiques.
.
I- Quelques vues d’ensemble sur le pic d’Anie et le pic d’Arlas
Quelques ouvrages industriels témoignent parfois de l’activité humaine. Des arbres de haute futaie peuvent aussi entrecouper la vue sur la ligne des Pyrénées descendant doucement vers l’ouest. Cependant, quelques endroits en hauteur, bien dégagés, font oublier tous ces inconvénients et permettent de profiter de ce beau spectacle.
Au-dessus de l’horizon, la ligne THT EDF 400 kV surgit souvent au 1er plan. Elle vient de Marsillon (près de Lacq-Artix) et se dirige vers la gauche dans la direction de Toulouse et … plus loin. Elle est parfois un peu trop visible dans le paysage.
29 décembre – Les côteaux du Vic-Bilh au premier-plan et dans la brume lointaine, la chaîne des Pyrénées occidentales.
15 janvier – Les dernières lueurs du couchant sur l’Anie tout à gauche, suivi du Soum Couey puis l’Arlas. Les éclairages de La Pierre Saint-Martin vont bientôt s’allumer et trahir la présence de la station au pied de l’Arlas.
26 janvier – Tout à gauche, le pic d’Anie (2 504 m) ; à droite, le pic d’Arlas (2 044 m) est dans la brume. Au même moment, une volée de palombes passa! Elles vont se poser au dortoir pour la nuit.
.
II- Quelques vues zoomées sur le pic d’Anie et le pic d’Arlas
02 Septembre – Les Aiguilles d’Ansabère (2 377 m), la Table (2 421 m) et le pic (2 444 m) des Trois Rois, le pic d’Anie et le Soum Couy (2 315 m).
11 novembre – Il a neigé sur les Pyrénées – Devant la Table et le pic des trois Rois (2 444 m), les deux pointes arrondies des pics de Pèneblanque (2 385 m). Vers la droite, le Countendé (2 338 m) devant le pic d’Anie puis le Soum Couy (2 315 m). Au-dessus de la forêt à droite, les palombes sont arrivées dans le Béarn, pour hiverner.
11 novembre – Le Countendé devant le pic d’Anie et à droite, le Soum Couy.
24 janvier – Il a reneigé – Les Aiguilles d’Ansabère, la Table et le pic des Trois Rois (cachés en partie par le pic de Pèneblanque), le Countendé, le pic d’Anie et le Soum Couy.
26 janvier – Le cirque de Lescun émerge au-dessus de la mer de nuages.
.
III- Quelques vues isolées sur la chaîne des Pyrénées
02 septembre – Le pic d’Arlas (2 044 m).
11 novembre – Les lumières de la Pierre Saint-Martin s’allument au pied du pic d’Arlas.
15 janvier – Depuis longtemps, ce bouquet de pins situé sur une crête vers l’ouest en direction des Pyrénées du Pays Basque attire mon regard. Le Pin est un arbre peu courant dans le Vic-Bilh ; on y trouve essentiellement des chênes, des châtaigniers et des acacias.
26 janvier – Le pic d’Arlas, puis les sommets du pays Basque dans la brume lointaine.
26 janvier – Le pic d’Orhy (2 017 m), en zoomant ; c’est le plus occidental des « 2 000 » pyrénéens. Situé en Haute-Soule à la frontière franco-espagnole, il est le plus haut sommet du Pays Basque. Généralement, je le devine à l’horizon plus que je ne le vois. Vers l’ouest au-delà du pic d’Arlas, c’est le seul sommet dont je reconnaisse la silhouette.
.
IV- Les vols de palombes qui agrémentent le couchant
A partir de fin octobre, les palombes arrivent dans les lumières du couchant pour se poser et passer la nuit dans des bosquets d’arbres de haute futaie, sur fond des Pyrénées. J’adore ce moment-là!
26 janvier – L’arrivée des volées de palombes au dortoir.
Comments ( 0 )